J’ai regardé par la fenêtre la vie passée. De rues immobiles jusqu’au passants volubiles ou solitaires.

Une ville grise et bleue. Une ville noire aux néons crasse-oranges.

J’ai eu envie de poser des mots sur ce paysage au temps infini, garder en secret ces instants absurdes, mettre à l’encre des sentiments, figer en substance une partie de l’éphémère.

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